Où il sera question d'alcool, de son pouvoir désinhibant qui libère, de la difficulté d'arrêter, de la Terre vue de l'espace et des livres qui font réaliser le problème de l'appropriation culturelle.
Ps : si tu as aimé le témoignage de Claire Touzard, je t’invite à lire celui de Charlotte Peyronnet (« Et toi, pourquoi tu bois ? »). Autre genre, plutôt intense. Mais elle y raconte comment elle a construit son alcoolisme. C’est criant de vérité d’une société un peu malade.
Pps : 671 jours sans alcool à l’instant où j’écris ce commentaire… toujours pas eu la force d’arrêter le coca (depuis mes 15 ans) mais ça va venir, on y CROIT.
J'ai justement écouté le témoignage de Charlotte Peyronnet hier dans un épisode des Pieds sur Terre sur l'alcool et la sexualité, je vais chercher son livre !
Bravo pour tes 675 (si j'ai bien compté ?) jours sans alcool 👏 et pour le Coca, je ne veux pas parler trop vite car ça fait seulement un mois, mais l'arrêt a été beaucoup plus facile que ce que je pensais !
J'adore toujours autant te lire, c'est parfait ! J'ai arrêté de boire de l'alcool quand j'ai commencé à prendre mes anti-dépresseurs il y a 2 ans, je n'avais pas une consommation incroyable de base, j'ai trop bu plus jeune ("comme tout le monde") et en vieillissant j'ai nettement diminué et je suis devenue chiante comme le dirait si bien Léa Salamé, mais je trouve ça juste trop relou de flinguer les lendemains parce que tu te sens malade à cause de 3 ou 4 verres de trop. Maintenant c'est rare quand je bois trop, j'ai recommencé à boire de temps en temps une bière, un cocktail ou un verre de vin mais à chaque fois le fait d'avoir complètement arrêté me fait le faire de manière consciente : j'apprécie mes verres et je trouve ça agréable (ça me fait me poser la question de "est-ce que c'est une manière malsaine d'avoir le contrôle sur moi-même, probablement que oui et c'est pas dingue non plus"). Je trouve ça toujours assez fou que la consommation d'alcool soit aussi encouragée et que pourtant, son excès et les dégâts qu'il fait soient aussi tabou aux yeux du monde et des politiques, bref la santé publique trop mal gérée comme d'habitude, je soupire.
Merci aussi pour tout les relais d'artistes, je ne connaissais que de loin Celia Jacobs sans la suivre (c'est désormais chose faite) c'est sublime ce qu'elle fait ! J'ai noté Orbital et Girlfriends on Mars aussi ça a l'air trop chouette !
Merci Florence pour tes commentaires toujours si justes et bienveillants, c'est agréable de se sentir lue avec autant de soin 🥰
La consommation consciente c'est vraiment précieux (j'essaye de le faire avec la nourriture) mais comme moi c'est l'ivresse que je cherche, ça ne m'aide pas trop... Par contre j'ai expérimenté un concert sans alcool la semaine dernière (je me sens toujours très mal à l'aise dans mon corps au milieu de la foule qui danse sans complexe) et non seulement je n'ai pas réussi à me "lâcher" pour danser, mais en plus le retour de 40 minutes à pieds sous la pluie a été fait de manière TRÈS consciente (alors qu'avec de l'alcool ce serait passé en un clin d'œil), j'ai un peu regretté... mais c'est vrai que le lendemain je n'avais pas de gueule de bois, et ça c'est quand même pas mal !
Merci beaucoup pour cette newsletter, ça m’a à nouveau fait questionner ma relation très addictive à l’alcool et j’ai noté beaucoup de ressources à aller lire, artistes à suivre !
Haha, laisse-moi te disputer ton titre de reine des coincées ! Ce qui me rend dingue c'est qu'avec l'alcool toutes ces craintes disparaissent et j'ai l'impression de devenir "vraiment moi", celle que je suis sous les couches d'angoisse et d'inhibitions... Donc l'idée serait d'arriver à l'être sans l'alcool. Je note ton conseil, mais je me sens toujours aussi coincée/terrorisée sans alcool qu'il y a dix ans !
J'ai tellement aimé te lire encore une fois. MERCI.
Oh, merci TELLEMENT Alice !
Très beau texte, merci 💖
Merci de continuer à me lire Sandrine 💘
Merci 🙏🏻
J’ai adoré lire cette newsletter ! ✨
Ps : si tu as aimé le témoignage de Claire Touzard, je t’invite à lire celui de Charlotte Peyronnet (« Et toi, pourquoi tu bois ? »). Autre genre, plutôt intense. Mais elle y raconte comment elle a construit son alcoolisme. C’est criant de vérité d’une société un peu malade.
Pps : 671 jours sans alcool à l’instant où j’écris ce commentaire… toujours pas eu la force d’arrêter le coca (depuis mes 15 ans) mais ça va venir, on y CROIT.
Merci beaucoup Laurie 🥰
J'ai justement écouté le témoignage de Charlotte Peyronnet hier dans un épisode des Pieds sur Terre sur l'alcool et la sexualité, je vais chercher son livre !
Bravo pour tes 675 (si j'ai bien compté ?) jours sans alcool 👏 et pour le Coca, je ne veux pas parler trop vite car ça fait seulement un mois, mais l'arrêt a été beaucoup plus facile que ce que je pensais !
J'adore toujours autant te lire, c'est parfait ! J'ai arrêté de boire de l'alcool quand j'ai commencé à prendre mes anti-dépresseurs il y a 2 ans, je n'avais pas une consommation incroyable de base, j'ai trop bu plus jeune ("comme tout le monde") et en vieillissant j'ai nettement diminué et je suis devenue chiante comme le dirait si bien Léa Salamé, mais je trouve ça juste trop relou de flinguer les lendemains parce que tu te sens malade à cause de 3 ou 4 verres de trop. Maintenant c'est rare quand je bois trop, j'ai recommencé à boire de temps en temps une bière, un cocktail ou un verre de vin mais à chaque fois le fait d'avoir complètement arrêté me fait le faire de manière consciente : j'apprécie mes verres et je trouve ça agréable (ça me fait me poser la question de "est-ce que c'est une manière malsaine d'avoir le contrôle sur moi-même, probablement que oui et c'est pas dingue non plus"). Je trouve ça toujours assez fou que la consommation d'alcool soit aussi encouragée et que pourtant, son excès et les dégâts qu'il fait soient aussi tabou aux yeux du monde et des politiques, bref la santé publique trop mal gérée comme d'habitude, je soupire.
Merci aussi pour tout les relais d'artistes, je ne connaissais que de loin Celia Jacobs sans la suivre (c'est désormais chose faite) c'est sublime ce qu'elle fait ! J'ai noté Orbital et Girlfriends on Mars aussi ça a l'air trop chouette !
Prends soin de toi ! ❤️
Merci Florence pour tes commentaires toujours si justes et bienveillants, c'est agréable de se sentir lue avec autant de soin 🥰
La consommation consciente c'est vraiment précieux (j'essaye de le faire avec la nourriture) mais comme moi c'est l'ivresse que je cherche, ça ne m'aide pas trop... Par contre j'ai expérimenté un concert sans alcool la semaine dernière (je me sens toujours très mal à l'aise dans mon corps au milieu de la foule qui danse sans complexe) et non seulement je n'ai pas réussi à me "lâcher" pour danser, mais en plus le retour de 40 minutes à pieds sous la pluie a été fait de manière TRÈS consciente (alors qu'avec de l'alcool ce serait passé en un clin d'œil), j'ai un peu regretté... mais c'est vrai que le lendemain je n'avais pas de gueule de bois, et ça c'est quand même pas mal !
Merci beaucoup pour cette newsletter, ça m’a à nouveau fait questionner ma relation très addictive à l’alcool et j’ai noté beaucoup de ressources à aller lire, artistes à suivre !
Hâte de te lire encore !
Merci beaucoup Marion, ça me fait super plaisir si ça a pu te donner des pistes de réflexion autour de cette substance bigrement addictive !
Haha, laisse-moi te disputer ton titre de reine des coincées ! Ce qui me rend dingue c'est qu'avec l'alcool toutes ces craintes disparaissent et j'ai l'impression de devenir "vraiment moi", celle que je suis sous les couches d'angoisse et d'inhibitions... Donc l'idée serait d'arriver à l'être sans l'alcool. Je note ton conseil, mais je me sens toujours aussi coincée/terrorisée sans alcool qu'il y a dix ans !